lunes, 24 de octubre de 2011

Contributions


Comme nous l’avions annoncé lors de notre Présentation, «créer ce blog signifie également dialoguer. C'est pour cette raison que nous inclurons des collaborations d'autres auteurs qui, à travers ces notes sur l'archéologie et la diplomatie, illustrent notre seule intention: susciter en permanence un intérêt croissant envers l'Equateur».

EMMANUELLE SINARDET:

-La mort sacrificielle : « Guásinton » (1938) de l’Equatorien José de la Cuadra

-Violence et désintégration de la personnalité dans Huasipungo de Jorge Icaza (1934)

-Désir féminin et passivité dans « Barraquera » (1932) de José de la Cuadra

-Du rapt fondateur au viol destructeur: les figures du viol dans Los Sangurimas de José de la Cuadra

-La mémoire exaltée dans El Cuento de la Patria (1967) de Benjamín Carrión : L´histoire revisitée d´une équatorianité joyeuse

-La satire, arme contre la barbarie équatorienne : Las Catilinarias de Juan Montalvo

-Figures populaires et formes savantes : la quête de l´équatorianité dans El éxodo de Yangana d´Ángel Felicísimo Rojas

-La preocupación higienista en la educación

-Révolution julienne (juillet 1925 - août 1931)

-Rêves de couples, cauchemar du couple : L´incommunication dans la nouvelle féminine équatorienne contemporaine

-Paris, mythe poétique équatorien : "Desde la capital de los MalGenioS" (2000) de Telmo Herrera


Dolores Cacuango et Tránsito Amaguaña ou le combat pour la dignité humaine, la terre et l'éducation bilingue en Équateur

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